Les seules batailles perdues d'avance sont celles que l'on ne livre pas.

 

C'est le déclin lorsque l'homme dit : "Que va t'il se passer" , au lieu de dire : "Que vais-je faire ?"

 

Vous croyez être assez nombreux. Je vous dis : pas assez

Vous croyez être assez généreux. Je vous dis : pas assez

Vous croyez être assez forts. Je vous dis : pas assez

 

 

Campagne de 95 :

 

Être dans le vent c'est avoir un destin de feuilles mortes 

 

Les amis c'est vous. Les courtisans dépendent de fonctions et de sondages

 

Je suis venu dire aux Français qu'il est temps de renoncer au renoncement.

Je suis venu dire, redire, que la politique n'est pas seulement l'art du possible.
Et qu'il est des moments où elle devient l'art de rendre possible ce qui est nécessaire.

 

Les plus .... chiraquiennes !! :

 

Vous savez, on greffe des foies, on greffe des reins, on greffe tout, sauf des couilles parce que l'on manque de donneur.

Moi, vous savez, je n'aime que deux choses : la trompette de cavalerie et les romans policiers.

Mais qu'est-ce qu'elle me veut de plus cette ménagère, mes couilles sur un plateau? (à propos de Mme Tatcher alors 1ère ministre de l'angleterre)

 

Ca m'en touche une sans faire bouger l'autre

 

Ils ont dit de lui :

             

Georges Pompidou :                              

        Chirac avec Pompidou                                                            

 

A mon cabinet on l'appelle le bulldozer. L'expérience prouve qu'il obtient tout ce qu'il demande. Il ne s'arrête pas tant qu'il ne l'a pas obtenu. On a encore jamais trouvé quelqu'un qui lui résiste.

 

Il nous aurait fallu un Chirac dans chaque circonscription.

 

Chirac, je vous ai réservé un strapontin dans le nouveau gouvernement. Mais je vous en prie, ne vous prenez pas pour un ministre.

 

Celui qui fut le plus fidèle, le plus ardent, qui m'aida vraiment c'est Chirac.

 

Denis Tillinac : 

Si par malheur vous perdiez cette bataille de France, on ne verrait sur les écrans, pendant 7 années de misère, que des dents de loups et de requins.

 

 

 

Voici des extraits d'un article paru dans Paris-Match sur Chirac et son premier amour !! Voici le commentaire d'une américaine tombée amoureuse du futur président de la France :

 

"Le plus belle été de ma vie" dit elle.

Pour la jeune fille de bonne famille débarqué de son vieux Sud traditionnel, c'était comme un conte de fées. J'avais rencontré le beau prince charmant sur son cheval blanc. Il allait m'arracher à mon milieu et m'enlever par dessus l'océan pour me faire découvrir son pays de rêve. 

.. La timide collégienne ne veut voir en Jacques Chirac qu'un professeur. Mais tout en lui proclame la liberté, l'énergie. Sa joie de vivre contagieuse fait fondre les jeunes Américaines. "A Harvard son charisme était tel qu'elle voulaient toutes le connaître."

"J'ai trouvé qu'il était séduisant, charmant et d'une générosité exceptionnelle, toujours prêt à aider autour de lui. Il se comportait surtout en parfait gentleman....Presque chaque jour, il arrivait avec un bouquet de fleurs, le plus souvent des fleurs champêtres car il n'avait pas assez d'argent pour m'offrir des roses".

Sur le campus américain des années 50, quand les étudiants parlaient d'embrasser sur la bouche, ils disaient French Kiss, s'embrasser à la Française. Cet été là, Jacques Chirac, incarnation d'un certain raffinement à la française, a bien défendu la réputation galante de son pays. "Il embrassait divinement bien" se souvient Florence.

...Malheureusement leurs pères s'en sont mêlés. Et le jolie rêve s'est brisé :

"J'ai pleuré toute la nuit..."

Florence avait aimé un homme qu'elle n'aurait plus le droit de revoir que dans ses rêves. Après l'embellie de son été magnifique à Harvard....Florence a entamé un long calvaire de 3 ans... "Je pleurais tous les jours. Je continuais à penser à lui."

 

Elle n'a jamais oublié le prince charmant qui lui offrait des fleurs. "Un premier amour, c'est quelque chose que l'on n'oublie jamais. Ces journées là furent les plus belles de ma vie